Zouhoura, symbole des femmes violées au Tchad
16 février 2016
Elimidougou est son pseudonyme sur Facebook, un nom qui en rappelle qu’elle est une descendante d’Ali en langue d'une ethnie locale, lequel la quasi-totalité des tchadiens ignorent d’ailleurs. Pourtant, Zouhoura Mahamat Brahim Ali n’a pas choisi l’anonymat.